Cinéma

Cinéma

[CRITIQUE] Possessor

Tasya Vos travaille au sein d’une organisation secrète qui utilise une technologie neurologique de pointe à des fins criminelles : habiter le corps d’une personne dans le but de la pousser à tuer aux profits de clients très riches. Tout se complique pour Tasya lorsqu’elle se retrouve dans le corps d’un homme dont l’appétit pour le meurtre et la violence dépasse de très loin le sien… Au point de la déposséder de sa propre identité ?

Une critique de Lucie Dachary.

Cinéma

[CRITIQUE] Eden

Éva est ultra sensible à la pollution, aux ondes et aux champs magnétiques. Elle vit isolée dans un appartement avec l’aide de son frère. Elle n’a de contact avec l’extérieur qu’avec les médecins qui continuent des expérimentations pour la guérir. Un jour, un psychiatre vient l’examiner pour savoir si sa maladie est réelle ou somatique.

Film d’ouverture du Festival International de Films de Femmes de Créteil, Eden est disponible jusqu’à samedi.

Une critique de Marine Moutot

Cinéma

[CRITIQUE] Wonder Woman 1984

Après avoir terrassé Arès durant la Première Guerre mondiale, Diana Prince, désormais employée de la Smithsonian Institution à Washington, D.C., vit discrètement au milieu des humains en 1984. La découverte d’une mystérieuse pierre supposée exaucer les vœux va la contraindre à enfiler de nouveau son costume de Wonder Woman.

Une critique de Manon Koken.

Cinéma

[CRITIQUE] Les Joueuses #paslàpourdanser

L’équipe féminine de L’Olympique Lyonnais s’est imposée au fil des années comme une des meilleures équipes de football au monde. D’entraînements en compétitions, de doutes en victoires, ce film plonge pour la première fois au cœur du quotidien de ces joueuses d’exception. Une invitation à porter un nouveau regard sur la place faite aux femmes dans le sport : un univers où les valeurs de respect et d’ouverture seront les piliers de l’évolution vers l’égalité. 

Une critique de Camille Dubois.

Cinéma

[CRITIQUE] Chungking Express

Dans le quartier hongkongais de Chungking Mansion, le policier au matricule 223 tombe amoureux d’une femme à la perruque blonde. De son côté, Faye, serveuse, s’éprend du policier 663.

Une critique de Marine Moutot

Cinéma

[CRITIQUE] Nous

Du 12 au 21 mars s’est tenu le Cinéma du réel, fenêtre majeure sur l’actualité du documentaire en France et dans le monde. La soirée d’ouverture du jeudi 11 mars a été l’occasion de découvrir le nouveau documentaire d’Alice Diop, Nous, sur lequel Marine avait posé un premier regard à l’occasion de la Berlinale.

Le RER B traverse Paris du nord au sud. D’un bout à l’autre, la banlieue s’étend, avec ses paysages et ses gens. La réalisatrice Alice Diop part à leur rencontre, sur les rails de son passé. 

Une critique de Manon Koken.

Cinéma, Festivals

[CINÉMA DU RÉEL] Matinale ParisDOC : Retour à la salle

Du 12 au 21 mars s’est tenu le Cinéma du réel, fenêtre majeure sur l’actualité du documentaire en France et dans le monde. Cette année, face à la crise sanitaire, le festival s’est tourné vers les plateformes, ou plutôt une plateforme, en rendant sa programmation accessible à tous via CANALRÉEL. Une édition exceptionnelle qui a demandé réflexion et inventivité aux équipes comme l’explique la déléguée générale du festival, Catherine Bizern, évoquant la pandémie comme “une rampe d’accélération pour les plates-formes et toutes les initiatives de mise en ligne de films.” Dans le cadre du festival ont eu lieu plusieurs matinales ParisDOC afin de discuter des enjeux de l’actualité cinématographique et du documentaire.

Propos retranscrits par Manon Koken.

Cinéma

[CRITIQUE] Saint-Narcisse

En cette année 2021, la plateforme de VOD illimitée spécialisée dans le cinéma LGBT+ et le site web gay Jock.life organisent la première édition du QueerScreen festival, entièrement en ligne. Il se tient du 12 au 21 mars avec une à deux séances par jour. L’occasion pour nous de découvrir fictions, documentaires et courts-métrages souvent encore inédits en France.

Dans le Québec des années 70, Dominic, bellâtre narcissique, retrouve des lettres écrites par sa mère, qu’il croyait alors morte en couches. À la recherche de ses origines, il fait la rencontre de l’énigmatique Irène, qui partage la vie de sa mère, ainsi que de son frère jumeau Daniel, dont l’existence bafouée se résume à une vie cloîtrée dans un monastère, aux côtés d’un prêtre abusif.

Une critique de Clémence Letort-Lipszyc

Cinéma, Festivals

[CRITIQUE] Beautiful Thing

En cette année 2021, la plateforme de VOD illimitée spécialisée dans le cinéma LGBT+ et le site web gay Jock.life organisent la première édition du QueerScreen festival, entièrement en ligne. Il se tient du 12 au 21 mars avec une à deux séances par jour. L’occasion pour nous de découvrir fictions, documentaires et courts-métrages souvent encore inédits en France.

En cette année 2021, la plateforme de VOD illimitée spécialisée dans le cinéma LGBT+ et le site web gay Jock.life organisent la première édition du QueerScreen festival, entièrement en ligne. Il se tient du 12 au 21 mars avec une à deux séances par jour. L’occasion pour nous de découvrir fictions, documentaires et courts-métrages souvent encore inédits en France. L’accès au festival est réservé aux abonnés de la plateforme QueerScreen. Néanmoins, il est possible de profiter des 7 jours d’essai gratuit, ou de s’abonner pour un mois sans engagement.

Une critique de Johanna Benoist

Cinéma

[CRITIQUE] Cherry

Entre 2002 à 2007, nous suivons le jeune Nico Walker : de sa rencontre avec la belle Emily, à son entrée dans l’armée et à son addiction. En devenant aide-soignant militaire, il est témoin de scènes choquantes. De retour de la guerre en Irak, atteint de stress post-traumatique, il plonge dans la drogue et braque des banques pour financer sa dépendance aux opiacés.

Une critique de Déborah Mattana et Marine Moutot

Cinéma, Festivals

[CRITIQUE] Re-naissances, le voyage de l’âme

En cette année 2021, la plateforme de VOD illimitée spécialisée dans le cinéma LGBT+ et le site web gay Jock.life organisent la première édition du QueerScreen festival, entièrement en ligne. Il se tient du 12 au 21 mars avec une à deux séances par jour. L’occasion pour nous de découvrir fictions, documentaires et courts-métrages souvent encore inédits en France.

Iels s’appellent Giovanna, Roman, Cate et Yi Chen. Tous les quatre sont militants LGBT+. Tous les quatre ont été migrants. Aujourd’hui, ils vivent à Paris et racontent leur parcours face caméra.

Une critique de Manon Koken.

Retour en haut