Cinéma

Cinéma, Festival de Cannes

[CRITIQUE] France

France est une journaliste télévisuelle au sommet. Admirée et adulée, elle règne avec grâce sur son petit monde. Mais un jour, elle renverse un jeune homme et sa vie s’écroule.

Le film est en salles le 25 août.

Une critique de Marine Moutot.

Cinéma, Festival de Cannes

[CRITIQUE] Bac Nord

En 2012, dans les quartiers nord de Marseille, les policiers de la Bac ont totalement perdu le contrôle et le taux de criminalité atteint des sommets. Greg, Antoine et Yass sont au cœur de l’action. Fatigués d’intervenir sur des petits larcins, ils sont les premiers sur le pied de guerre quand un gros coup se prépare.

Une critique de Manon Koken.

Cinéma

[TOP] 10 bonnes raisons de regarder Quand passent les cigognes de Mikhaïl Kalatozov

1941, Boris et Veronika s’aiment et vont se fiancer. Mais alors que la Seconde Guerre mondiale arrive aux portes de Moscou, Boris s’engage en promettant à Veronika de revenir.

Disponible jusqu’à début septembre sur Ciné+, le magnifique film de Mikhaïl Kalatozov Quand passent les cigognes est également visible sur Universciné et LaCinetek. En octobre 2019, le distributeur Potemkine a édité une version restaurée en 4K en DVD et Bluray.
En cet été où l’insouciance nous quitte peu à peu — changement climatique catastrophique, pandémie mondiale qui ne finit pas, montée du racisme — découvrir ou revoir un long-métrage comme Quand passent les cigognes nous rappelle que la beauté est dans le simple et l’humain. Nous vous donnons dix raisons de regarder ce chef-d’œuvre.

Un top de Marine Moutot.

Cinéma, Festival de Cannes

[CRITIQUE] Rouge

Jeune infirmière, Nour arrive dans l’entreprise chimique où son père travaille depuis 29 ans. Très rapidement, elle découvre que des données sur la santé de certains employés manquent. Lors d’un meeting politique, une journaliste indépendante questionne autour des rejets de l’entreprise. Alors qu’un contrôle sanitaire va avoir lieu dans l’usine, Nour se rapproche de la journaliste pour enquêter.

Le film est sorti en salles le 11 août.

Une critique de Marine Moutot.

Cinéma

[CRITIQUE] Jungle Cruise

Lily Houghton est une docteure en botanique qui a soif d’aventures mais qui a aussi pour but de changer la médecine pour toujours. Elle décide donc de quitter Londres avec son frère pour l’Amazonie. Après des années de recherches, elle pense enfin avoir trouvé la localisation d’un arbre magique dont les fleurs peuvent guérir tous les maux. Pour l’aider dans sa quête, elle engage Frank Wolff, un skipper un peu rustre qui connaît le fleuve comme sa poche. Diamétralement opposés, tout ce petit monde va devoir surmonter bien des obstacles comme des malédictions, des animaux sauvages, un fleuve pas très coopératif  afin d’arriver au bout de l’aventure !
Jungle Cruise est actuellement en salles.

Une critique de Déborah Mattana.

Cinéma

[CRITIQUE] Les Sorcières de l’Orient

Les joueuses japonaises de volley-ball, surnommées les “Sorcières de l’Orient”, sont aujourd’hui septuagénaires. Depuis la formation de l’équipe à l’usine de textile japonaise jusqu’à leur victoire aux Jeux Olympiques de Tokyo en 1964, souvenirs et légendes remontent à la surface et se mélangent inextricablement.

Une critique de Camille Dubois.

Cinéma

[TOP] 10 bonnes raisons de regarder Les Enfants du Paradis de Marcel Carné

Alors que la chaîne Arte rend hommage au réalisateur français Marcel Carné grâce à un documentaire et deux films emblématiques de sa carrière, Hôtel du Nord et Drôle de Drame, nous chez Phantasmagory, on vous donne également 10 bonnes raisons de regarder le film « Les Enfants du paradis », sorti en 1946.

Un article de Camille Dubois

Cinéma, Festival de Cannes

[CRITIQUE] Benedetta

Pescia, au 17e siècle. Dans cette petite ville italienne, Benedetta rejoint très jeune le couvent. Elle communique avec la Vierge Marie et pense faire des miracles. Plus tard, quand la peste sévit dans toute l’Italie, elle croit pouvoir sauver sa ville de la maladie.

Le film était présenté au Festival de Cannes en Compétition. Il est sorti en salles le 9 juillet.

Une critique de Marine Moutot.

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