Cinéma

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[CRITIQUE] L’Une chante, l’autre pas

1962. Pauline, 17 ans, passe devant une galerie d’art et découvre le portrait d’une voisine qu’elle avait perdue de vue. Il s’agit de Suzanne, 22 ans, mère de deux enfants avec un artiste marié. Les deux jeunes femmes se lient d’amitié, se perdent de vue et se retrouvent 10 ans après en 1972.

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[CRITIQUE] Pinocchio

Nouvelle version de Matteo Garrone.
Geppetto est un pauvre menuisier de Toscane. Comme il n’a pas de quoi se nourrir, il décide de fabriquer un pantin de bois pour faire le tour des villages et ainsi gagner honnêtement sa vie. Mais à peine finie, la marionnette se met à parler. Geppetto devient père et nomme son fils Pinocchio. Celui-ci préfère s’amuser plutôt que travailler et le voici bientôt sur les routes. Geppetto se lance alors à sa poursuite.

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[CRITIQUE] Tyler Rake

Tyler Rake est un mercenaire égaré dans l’attente de la mission qui sonnera la fin de son existence. Alors qu’un puissant mafieux incarcéré fait appel à ses services pour retrouver Ovi son fils kidnappé, Rake relève le challenge et se retrouve dans une situation plus délicate que prévue..

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[CRITIQUE] Red Road

Opératrice dans une société de télésurveillance, Jackie vit derrière les écrans de son poste de contrôle à Glasgow. Elle observe jour et nuit le quartier de Red Road. Une nuit, alors qu’elle travaille, il lui semble reconnaitre un homme qu’elle ne pensait jamais revoir.

Cinéma, Dossiers

[CORONAPOCALYPSE #2] Les Papas versus l’apocalypse zombie au cinéma

Nous vivons en ce moment une période étrange et angoissante, où la réalité semble rejoindre la fiction. Pour beaucoup confiné.e.s, menacé.e.s par l’invisible mais enfin disponibles aux nombreux livres, films et séries qui composent nos to do lists, nous tentons de nous réapproprier ce temps libre tant désiré. Au milieu des actualités anxiogènes et des conseils pour faire face en toute sérénité, de nombreuses filmographies spécial confinement fleurissent sur la Toile, feel-good movies versus films d’épidémie. Sans doute une manière de recréer l’expérience collective propre au cinéma, signe d’une volonté de partage et de lien en ces temps d’isolement. Nous explorons cette fois le genre du film de zombie, et la place qu’y occupe la figure du père.

Cinéma

[CRITIQUE] Forte

Nour a un fort caractère et 20 kilos en trop. Suite à une déception amoureuse elle décide sur un coup de tête de s’essayer à la pôle dance.

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